jeudi 2 septembre 2010

Irak, Je m'en souviens.


Tout d'abord, il est très difficile de dire adieu complètement à l'Irak. Pour ceux-là qui ont survécu les brutalités de la guerre, qu'il s'agisse d'un ambuscade d'armes à calibre léger, ou après la détonation d'une bombe improvisée dans un coin de l'autoroute, un camikaze, ou d'un attaque de fusée muni d'un système de livraison explosif, on s'en souviendra toujours du jour, de l'heure et de l'endroit.

Ce fut un privilège pour moi d'en avoir été témoin de cette guerre. L'année 2003, fut une année inoubliable. Un an plus tard, les années 2004 et 2005 aussi resteront toujours gravées dans ma mémoire. Une publication inédite paraitra aussitôt que la guerre soit définitivement terminée.

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