LORSQU'ON S'EN PREND A LA LIBERTE D'EXPRESSION D'UN INDIVIDU OU D'UN GROUPE DE GENS, C'EST UN ATTENTAT A LA LIBERTE D'EXPRESSION DE TOUT LE PEUPLE QU'ON S'EN PRENNE. L'ARBITRAIRE, SOUS TOUTES SES FORMES, NE DOIT EXISTER DANS UNE HAITI VRAIMENT DEMOCRATIQUE, INDEPENDANTE ET LIBRE.
Tout va bien dans le système bancaire ? En bon extra-terrestre, il parait que, notre gouverneur de la banque centrale, connaisse mieux ce qui se passe sur la Lune, que dans son pays...une sorte de déconnexion avec la réalité...
Pourquoi cette dévaluation accélérée de la gourde ? Quelle sont les causes de l' hyper-inflation et du chômage ?
L'économie haïtienne, intubée depuis plus de 24 mois par les trois démons cités plus haut et l'Etat Haïtien, nagent depuis quelques temps dans une mare d'encre rouge. Pourtant, le gouverneur vient de nous déclarer que tout est bien dans le système bancaire...parole d'extra-terrestre.
Pour nous, les mesures prises par le gouverneur de la banque centrale n'est autre chose qu'une démagogie. Elles ne touchent pas au coeur du problème bancaire dans le pays. Ce n'est pas en faisant une tournée surprise d'inspection qu'on arrivera de mettre à nu les mauvaises pratiques de nos banques.
Résultat deux banques sanctionnées pour un montant dépassant 800 millions de gourdes. Il y a lieu d'applaudir, mais quelque chose nous a retenu. Que représente une année de rappel à l'ordre dans le domaine bancaire, sur une période de plus de 50 ans de désordre ? 1/50 cela équivaut à quoi ? Quel record, quelle note ! Il y a de la complicité ici...
C'est un premier pas, comme le fait l'enfant qui apprit à marcher. Nous jugeons bon, qu'il nous faudra de vrais réformes, non seulement dans notre politique bancaire, mais surtout d'élaborer avec précision les attentes de la banque centrale. Il nous faudra, adresser le grand problème que pose l'opacité dans les transferts entre la banque centrale et les ministères qui signent des chèques... un rapport mensuel sur les transactions et contrats avec ou entre les firmes haïtiennes et d'outre-mer...ce qui ne sont aucunement des secrets d'État.
Ensuite, il y a cette affaire d'imposition sur les transferts de la diaspora, actuellement en vigueur, que la banque centrale prélève copieusement, sans donner aucun indice à quoi servira ces fonds?
Les mains de nos dirigeants sont comme des passoires. Toute taxation doit avoir un but. Si l'on prélève $1.50 sur les transferts sans dire à quelles fins cet argent sera utilisé, cela donnera l'impression d'un acte de gangster par la banque centrale d'Haïti qui se croit en droit d'imposer la diaspora sans rendre de comptes à personne.
Sur l'administration Martelly, on savait que les fonds prélevés seraient utilisés pour l'éducation gratuite. À quoi servira les fonds des transferts de la diaspora ? Nous ne ferons pas un appel aux cordes, mais il viendra si rien n'est fait à ce sujet dans un bref délai...
C'est un état de chose, un désordre, qu'il faut freiner...
La guerra civil termina con la victoria total de los sublevados. Lo que comenzo en Julio de 1936 con un Golpe de Estado contra la Republica, acaba con la austaura frente de una dictadura. Su lider es Francisco Franco, el generalisimo.
¡ A viva España ! ¡ A viva España !
Una dictadura sanguinaria.
Guerra Civil, son muertos:
Très mil soldados muertos y mas de dos cientos mil civiles asesinatos desde lejos del frente, mil y diez y miles Españoles masacrados por los bombaderos, los fusilamientos, la reprecion...
Una victoria de Francisco Franco 93% del scrutin, estableciendo asi, una dictadura militar en España.
Hay mas informaciones de crimen sobre la dictadura militar de Francisco Franco que nos ofrece la pelicula.
Al minuto 1:47
Cristino Garcia y nueve de sus compañeros, todos ciudadanos del partido communista de España fue fusilados.
La Causa:
Se encuentra fallecido a consecuencia del complimiento de la pena de muerte dictada por el Tribunal Militar, cuya plaza se desconoce.
Como repulsa a estos execuciones...
Francia, Despues de reclamar infructuasamente el indulto de dies delincuentes Españoles, acuerda cerrar la frontera comun.
En las Naciones Unidos, viene de manera pronto la condanacion del regimen de Franco. Los Estados Unidos y Francia retiren a sus embasadores en España como una forma de repuesta...
7:04 El dictador Franco sacando apoyo por una otra Dictadura Militar, de Argentina, en la persona de Juan Domingo Péron, un simpatico del Nazismo de Hitler.
7:40
Evita Péron, la esposa de Juan Domingo Péron, su visita en España.
8:02
Abril de 1949 creacion de OTAN.
"El Pacto Atlantico, sin España es como una tortilla sin huevos." Ha dicho el General Franco a una periodista norteamericano.
El mundo vive tiempos peligrosos...
En el mismo año, 9:45 habia una explosion atomica en Rusia y se convierte en potencia nuclear.
9:32 Mao Tse Tung ha proclamado el nacimiento de la Republica Popular China y el establecimiento de un gobierno central popular...
9:56 Persecuciones de miembres del partido communista norteamericano.
En Julio de 1950 empiezo la guerra frente a Norte Korea communista y el Sur Korea Occidental.
Tràs la capitulacion de Hitler, los vencedores entiendan la reconstruccion de Europa, dividida entre paises del Este y ellos del Oueste, en el caso ulterior, adoptan el modelo Occidental, mientras los otros el communismo de Rusia.
Esto fué una prueba irrefutable de lo que hacian los paises Occidental para combatir al sector communismo en toda parte del mundo.
What happened in Mali should be of concern to people from around the world. Why would anyone trust a military junta's word who toppled a democratically elected president ? The return to dictatorship in this hemisphere is as real as the rising sun.
Historically, military dictatorship has never worked. The first bad sign that something is going wrong is the continuing looting of the country's resources by that military junta as soon as a president is deposed. The junta will establish a timeline, but it will be pushed back so junta members, their families and close friends could copiously ruin and ransack the entire country.
The only purpose for the rule by force in a country is to kill, steal, and destroy. The rule of thumb is NEVER TRUST a dictator's promise. Ruling a country at gun point is nothing but a form of gangster-ism. When dictators come to power, it feels like the fox is guarding the hen house. Stealing from the country's treasury by the dictator's family and close friends is common place, wheeling and dealing... meanwhile the dictator is toying with the people, taking advantage and telling them to stay calm, that everything is under control... In dictatorships, thieves are lying to your face!
In a speech, Victor Constant, one of Duvalier's acolytes, told the people the Grand Rue, Haitian's equivalent of Main Street, is the best road construction ever in the Caribbean...and his idiot followers applauded.
The only way a military coup could be reversed is through people uprising. The Malian people need to have a plan. They should arm themselves first to ensure their security, organize in huge numbers, stage protests and start civil disobedience throughout the country.
Nobody, no organizations from around the world, are coming to help the Malian people. They don't know it yet, but they are on their own in this. Unfortunately, in this world, there are Avatars that are are looking for opportunities such as this to start looting a country's resources and treasury. The more chaos in a country the better they could create fear and intimidation.
The threat to democracy is real. A democratic country can turn into dictatorship by gangster-ism's rise in these countries. Here are the signs: impunity, tolerance, nepotism, corruption, abuse of power, indifference is derived by the dictator's lack of empathy for people and his enjoyment of bloodshed. Dictators use the country's military leaders as puppets that he breaks at will whenever he no longer needs them for his purpose.
People should NEVER TRUST anything a dictator says. Because, dictators are pathological liars. Even the dictator's idiot followers should not trust him in that respect. The sooner they realize the EMPEROR HAS NO CLOTHES and they are being played a fool, the better they could help reverse the situation into civilian rule.
Dictators are corrupt to a fault. Don't confuse the establishment of a military junta as a springboard back into democracy. The junta's timeline to elections is nothing but a smokescreen, because gangsters do not organize peaceful and honest elections.
Military coups happen in countries where the people are completely disarmed and untrained in handling firearms, where military men who don't have a mission are trained to regard their fellow citizens as the enemy.
Les idées et opinions de quelques membres de la diaspora, tant aux Etats-Unis qu'au Canada sont débattus avec passion et enthousiasme. Une dette de gratitude à tous les dévoués collaborateurs de Veritas présente, sans eux l'auteur n'aurait pas eu la sagacité pour présenter, sans filtre et contrainte, au public en général et à Livres en Folie en particulier, ce que pensent les Haitiens d'outre-mer sur l'état de choses au pays natal.
Comment se fait-il qu'il n'y a pas eu de réformes dans le système bancaire Haitien pendant des décennies ? Pourtant tous les maux de notre monde viennent de ce secteur. Aujourd'hui, nous trouvons cela inconcevable, et même inacceptable que rien n'ait été fait dans ce domaine.
Vous dites que nous avons un problème récurrent de corruption ? Mais, tous les chemins de cette dernière mènent nécéssairement aux banques. À moins que les dossiers soient détruits d'une manière préméditée, ils doivent exister quand même quelques traces. Directeur x ou y avait signé le chèque de monsieur z, par exemple.
Pouquoi les gouvernements qui sont succédés et proposent de faire de vraies réformes administratives, laissent le système bancaire Haitien intouchable ? Pourtant, c'est exactement là qu'il fallait aller chercher des preuves de magouilles...
À quel point sommes-nous sérieux dans notre poursuite des corrompus qui ont volé l'argent du peuple ?
Démagogue définition
(Celui, celle) qui cherche à flatter le peuple par des paroles
ou des actes, afin d'obtenir ses suffrages et de le dominer.
As you've seen by now this isn't a normal Convention. It's not a normal time. So, tonight I want to talk as plainly as I can about the stakes in this election. Because, what we do these next 76 days will echo through generations to come.
I am in Philadelphia where our Constitution was drafted and signed. It wasn't a perfect document. It allowed for the inhumanity of slavery, and failed to guarantee women even men (...) the right to participate in the political process.
But, embedded in this document, was a North Star that will guide future generations. A system of representative government. A democracy through which we could better realize our highest ideals.
Through civil war and bitter struggles, we improved this Constitution to include the voices of those who once have been left out. And, gradually we made this country more just and more equal and more free.
But, one Constitutional office elected by all of the people is the presidency. So, to a minimum, we should expect that a president to feel a sense of responsibility for the safety and welfare of all 330 million of us, regardless of how we look like, how we worship, who we love, how much money we have or who we voted for.
We should also expect a president to be the custodian of this democracy. We should expect, that regardless of ego, ambition, and political beliefs, the president will preserve, protect and defend the freedom and ideals that so many Americans marched for, went to jail for, fought for and died for.
I sat in the Oval Office with both men running for president. I never expected that my successor would embrace my vision or continue my policies. I did hope, for the sake of our country, that Donald Trump might show some interest in taking the job seriously. That he might come to feel the weight of the office, and discover some reverence for the democracy that had been placed in his care. But, he never did.
For close to four years now, he has shown no interest in putting in the work, no interest in finding common ground, no interest in using the awesome power of his office to help anyone but himself and his friends. No interest in treating the presidency as anything, but one more Reality Show that he can use to get the attention he craves.
Donald Trump hasn't grown into the job, because he can't, and the consequences of that failure are severe: 170,000 Americans dead! Millions of jobs gone, while those at the top, taking more than ever!
Our worse impulses unleashed ! Our proud reputation around the world, badly diminished! And our democratic institutions threatened like never before.
Now, I know that a time as polarized as this, most of you have already made up your mind. But, maybe you are still not sure which candidate you will vote for or whether you'll vote at all. Maybe you are tired of the direction we're headed. But, you can't see a better path yet or you just don't know enough about the person who wants to lead us there.
Je viens de faire l'expérience du système d'exploitation à outrance des jeunes
en Haïti et il m'a fallu quelques jours pour comprendre son mode de fonctionnement.
En Haïti, la question identitaire des jeunes n'est jamais réglée. Le jeune Haïtien est un citoyen qui a pourtant l'âge militaire. Il travaille mais, ne comprend pas qu'il lui faut produire des pièces prouvant son identité correctement.
L'actuel administration commence à se prononcer sur cette affaire. Toutefois, il n'existe pas de lois interdissant au citoyen de posséder plusieurs identités. Par exemple: Une faute de documents, ferait Ernst Jean-Joseph, le nom d'une seule personne, devenir facilement Jean Ernest Joseph - deux individus.
Dans cette situation, les pertes sont énormes... par surcroit de malheur, les magouilles aussi.
D'entrée de jeu, le jeune est victime, parce qu'il ne possède pas
des pièces d'identifications telles que: matricule fiscal, CIN, ou passeport.
Cela fait l'affaire des prédateurs de tout accabit, parce ces jeunes n'apparaissent pas sur les registres légaux, surtout s'ils viennent de l'arrière pays. En Haïti, même certains adultes sont incapables de produire un extrait de leur acte de naissance.
Dans ce cas particulier, le manque à gagner pour l'Etat est gigantesque, ne collectant pas d'impôts sur les revenus que produisent ces jeunes, qui vivent mais n'existent pas à proprement parler comme citoyen.
Dans ce système, certains jeunes peuvent travailler sans être rémunéré pendant des années de service. Une situation qui engendre et nourrit l'esclavage moderne chez nous...
Nos jeunes, me sachant pas où porter plainte, se taisent...
Si le jeune abandonne son poste, le système d'exploitation à outrance continuera son chemin sans s'inquiéter...
Combien de jeunes fonctionnent dans cette situation ? Personne ne sait.
Qui changera la situation des jeunes étudiants qui travaillent dans les
entreprises Haitïennes pour un rien ?
La nouvelle nous tombe dessus comme un coup de massue ce matin. Ernst Jean-Joseph, le meilleur défenseur qu'une équipe Haitienne ait jamais produite, n'est plus. Ti Nès, ancien capitaine de l'équipe nationale, est mort le vendredi 14 août à l'âge de 72 ans, suite d'une crise cardiaque.
Lorsqu'il s'agit de jouer une partie de foot, il était impossible à Ti Nès de refuser. Dans mon quartier, il était coutumier que les championnats débutent avec des gamins pour terminer avec toute l'équipe demi-professionelle du VAC. Cela était arrivé en plusieurs occasions...
En grand stratège, Ti Nès ne jouait pas une seule position sur le terrain de jeu. Cela était tellement vrai que nous avions vu Ti Nès danser tout le temps sur la balle, avant de dribbler copieusement des avant-centres... par moments il quitta sa position de libéro pour marquer des buts sur des coup-francs et corners. À mon humble avis, Ti Nès était autant bon passeur de balle que défenseur. C'était un joueur complet, physiquement imposant et techniquement capable...Après Ti Nès de l'équipe nationale 1974, c'est le vide... (Nono Jean-Baptiste: Meilleur joueur que Bekenbauer champion du monde?)
Le vide ? Non, répondit Carl.
D'une part, il y eut ça et là quelques éclairs de génie de la part de nos équipes.
L'équipe nationale des années 1983-84 a été éliminée en finale par le Mexique. C'était une belle équipe.
D'autre part, celle qui, l'année dernière, avait battu le Canada, faisait l'exception à la règle...elle a été aussi éliminée par le Mexique dans les circonstances que l'on sait. Un impensable pénalité accordé à la dernière minute de jeu, en faveur du Mexique...
Malheureusement, pour nous depuis 1974, aucune équipe Haïtienne est arrivée vainqueur du Mexique en match final de la CONCACAF.
Nous présentons nos sympathies à la famille d'Ernst Jean-Joseph, ses coéquipiers de la sélection nationale 1974 et ceux du Violette en particulier. Tout ce beau monde est en deuil, joueurs et fanatiques se souviennent les moments de gloire de notre football national.
Notons que Carl Brévil demeura un ami proche d'Ernst Jean-Joseph. Lorsqu'on lui pose la question, savoir, quel était son meilleur souvenir de son ami ?
À Carl de répondre en souriant au téléphone qu'il y en avaient plusieurs...
La prestation de toute l'équipe du VAC dans un match final au championnat de quartier mentionné plus haut et un autre match joué au Panama lui viennent à l'esprit.
L'équipe du VAC, en quête d'un libéro, Charles Vorbe, l'un des entraineurs, proposa l'opportunité à Carl Brévil.
Après des séances d'entrainements à Kenscoff par le trio Carl Brévil, Charles Vorbe et Ti Nès, Carl retourna au Violette pour jouer la position de libéro.
Carl joua cette position dans un match au Panama. Après le match, Ti Nès était tellement satisfait de la prestation de son équipe, et sautant de joie, qu'il brisa sa caméra par accident... pour cette raison, il n'existe aucune photo de ce grand moment de jubilation...il arriva un moment dans le match où les spectateurs de l'équipe adverse, applaudissaient les joueurs de l'équipe Haïtienne...il y a de ces moments dont il faudra être présent pour mieux apprécier l'ampleur...
Les photos d'en bas nous viennent des archives de Carl Brévil, ancien joueur du VAC et de la sélection nationale, mettant ainsi quelques points sur les i pour nous...en guise de mémoire à son ami Ti Nès.
L'équipe championne du VAC 1976-77
De droite à gauche:
Joueurs debouts:
Edner Charles, Jean-Marie Jean Baptiste, Carl Brévil,
Ernst Jean-Joseph, Charles Vorbe, Frantz Mathieu .
Joueurs assis:
Jean-Pierre Bayonne, Philippe Vorbe, Rafael Pierre, Montironi,
Bario Nuevo
Entraineur: Gérald Aigle
Photo des joueurs de la sélection 1974 avec le président Jean-Claude Duvalier
Anecdotes sur Ti Nès et Philippe Vorbe
J'en ai deux dans la mémoire. Le jour où j'obtenais mon visa pour quitter le pays en 1981, je traversais la rue Oswald Durand devant l'Ambassade Américaine, Ti Nès traversait cette rue en même temps que moi. Je l'interpelle, pas en mon nom, mais lui rappelant sa prestation sur le terrain du quartier, et de son ami Carl Brévil.
-Gwo deblozay te pete nan match sa-a, apre Montironi te finn fè yon gòl tèt. Lòt ekip la te fè koken, gwo batay mete pye, match kraze.
- Ban m nouvèl Carlo ? Misye se moun pa m wi...
Philippe Vorbe
Quelques joueurs de l'équipe Toup Pou Yo venaient, comme par hasard, jouer au foot sur le terrain de mon quartier. Ordinairement les joueurs sur place engagent quelque soit l'équipe qui se présente sur le terrain pour jouer un match amical.
On fit une fusion des deux équipes, les joueurs de mon quartier choisirent quelques-uns des joueurs de Toup Pou Yo. Cette équipe en avait fait de même. Voilà comment il m'était arrivé de jouer, pendant seulement dix-minutes, en milieu de terrain avec Philippe Vorbe.
Point culminant du match, sur une passe de Vorbe envers moi, qu'Obas, essaya d'intercepter, j'avais copieusement "fait la toilette" de l'ancien buteur du RCH sur l'aile droite pour centrer la balle en retrait. Il y a de ces dribbles qui humilient et intimident du même coup la victime. En 1981, à 24 ans, ce n'était pas la bonne forme... Il fallait me voir jouer au foot sur ce terrain de jeu à 19 ans...
Après mon impertinence, Philippe Vorbe appela quelqu'un et me fit remplacer...
Conseils aux Jeunes
Jouez au football, mais ne laissez jamais tomber vos études. Il est bon de pratiquer le sport, car un vrai sportif n'abandonne pas pendant toute sa vie, les consignes, l'ordre et la discipline qu'il faut pour maintenir une bonne santé.
Il faut toujours penser après le football, parce qu'il y aura beaucoup de risques associés, en jouant au football, qui peuvent avoir des conséquences irréversibles sur votre de qualité vie. Ceux qui pensent de cette façon, préparent l'avenir... Il faut imaginer un plan de sortie... C'est ce qu'ont fait Carl Brévil et Charles Vorbe.
Beaucoup de joueurs peuvent devenir des professionnels de la santé, des avocats, docteurs, ingénieurs, mécaniciens, agriculteurs, plombiers, électriciens...
Pour ma part, en tout cas, j'avais fait la route inverse.
J'ai quitté le foot pour les livres et je n'ai pas eu de regrets d'avoir pris cette décision... la vidéo d'en bas et une photo d'équipe sont ce qui me reste comme souvenir d'avoir été un bon joueur de foot...
Abitan d Ayiti salwe w, e li di ou li pap trèt
Pou sa pou fè pou li, li genyen yon veritab dèt
Anvè w ki ba nou manje, ki fè nou du byen
Nou genyen rekonesans, pou nou ou se yon soutyen
Pye ban-nann vèt, nan mònn, ak nan plènn
Ban-nan dous yo, ou se yon vrè krèm
Pye zoranj, gòj nou si fatige nan kous
Nou bwè dlo w, bèl pye fwi ki si dous
Pye kowosòl, fwi w gen ju, si blan si sukre
Avèk yon lòt glas, san nou vini kalm
Pye kenèp ki sou bò tout wout
An konfitu, nou manje ju w, nan bèl soukoup
Nou renmen, lomb ou, ki ba nou van
Pye kayimit vèt yo, pye kayimit vyolèt
Souple pye w ap shante anpil shwèt
Pye kalbasik ki tou patou
Nou manje kalbasik ou avèk bon gou
Pye gwayav sukre, pye gwayav dous
Nou deguste an jele e nou pa gen tous
Pye mango fil, muska, mango jeremi
Boush nou di w, gou w pap fini.
Pye fwi, pye bwa d Ayiti ki toupatou
Ou se yon sharm, ki vle rann nou fou.
Poukisa nap kontinye repete menm vye erè ke tout lòt administrasyon avan
yo te fè ?
Poukisa gouvènman Ayisyen an pakab reyalize eleksyon poukont li, san mande
moun ?
Foto sa-a fè m wont anpil, anplis demash gouvènman Ayisyen an demontre ke nou gen tèt di nou pajanm sa aprann leson apati de istwa al mande lòt peyi kòb poufè eleksyon an Ayiti...
Lènn byen gade, KEP la te dwe renmèt tout lajan kontribwab Ayisyen yo te peye l pandan twazan li pase shita sou de men l, san l pa reyalize anyen kòm travay. Tout demisyone paske yo pa mèt tèt yo, ce sont des doublures, se sou paren-nay yo tap fonksyone. Se toushe kòb san travay epi al bwa shat san realize misyon l.
Haïti attire l'attention. À première vue, elle présente, à bon marché, une étrange ressemblance des mauvais côtés de l'Afrique. Ensuite, le pays constitue une sorte de laboratoire humain. Parler d'Haïti à partir des observations faites sur le terrain est une chose, l'autre consiste à bien coordonner sa pensée pour faire jaillir la lumière sur quelques vérités dures de ma terre natale.
Tout le monde sait bien qu'Haïti partage l'île avec la République Dominicaine. C'est bien à propos que nous désirons vous entretenir ce matin.
Le premier paradoxe.
Nous devons vous rappeler après la deuxième guerre mondiale, jusque dans les années 80, il existait deux Allemagnes. L'Allemagne de l'Ouest et l'Allemagne de l'Est. L'un imita le modèle économique occidental, tandis que l'autre choisira le socialisme de Staline.
Dans l'Allemagne de l'Ouest, il y avait une industrie automobile florissante, Mercedes, BMW, Volkswagen, celle de l'aéronautique, novatrice et pimpante. Autoroutes, trains, électricité, immobilier moderne, et j'en passe... Tandis que dans l'Est, c'était la banqueroute et tout marchait au ralenti dans l'économie, c'était un pays en décadence. Il n'y avait pas, à proprement parler, d'industrie automobile (une seule voiture, la TRABANT) ou aéronautique digne de ce nom. À la frontière, on faisait des fusillades journalières d'Allemands de l'Est, qui essayaient de franchir, au péril de leur vie, cette ligne de démarcation.
Fòk nou sispann manje, manje bliye!
Eh bien, nous sommes à ce même tournant de l'histoire dans la Caraïbe, avec les seules exceptions: différence de moeurs, de couleur, et de langage. Les deux pays sont issus de la race Africaine.
D'un côté, après la mort du dictateur Trujillo, on adopta une politique de vulgarisation et de modernisation, qui encouragea l'amour pour la patrie, et favorisa l'épanouissement d'une économie basée sur le tourisme comme moteur de développement.
De l'autre, après la mort du dictateur François Duvalier et l'abdication du trône par son fils Jean-Claude en 1986, il s'ensuivit une politique de représailles et de persécution, de conflagration, de vols, viols, et d'enlèvements. Enhardi par l'impunité, n'importe quelle personne pense pouvoir diriger le pays, et le mener à bon port. L'expérience n'est plus nécessaire, on vous donne une place, et vous fonctionnez selon l'ordre du parrainage. Dans un tel système c'est avec l'argent des contribuables qu'on paie des gens qui occupent une fonction quelconque mais ne produisent rien en réalité comme travail.
Par surcroit de malheurs, trente-quatre ans après tous ces désastres, plus le tremblement de terre de tantôt, on parle encore de révolution en Haïti et avec elle le même système socialiste qui avait échoué partout dans le monde. On doit se demander pourquoi n'ont-ils rien appris de l'histoire ?
Après la chute des Duvalier, on adopta une dictature civile, parlementaire (sénatoriale), ayant pour base, une économie de contrôle et partisane. En d'autres termes, "si vous êtes avec nous vous mangerez; au cas contraire, ou vous mourrez de faim ou nous vous tuerons."
While my time here has come to an end, I want you to know that I spent the last days and hours of my life, you inspired me. You filled my with hope about the next chapter about the great American story when you used your power to make a difference in our society.
These were people simply motivated by human compassion, layed down the burdens of division around the country and the world. You set aside race, class, age, language and nationality to demand respect and human dignity.
That is why I had to visit Black Lives Matter plaza in Washington. Though I was admitted to the hospital the following day. I just had to see and feel it for myself. That after many years of silent witness, the truth is still marching on.
Emmett Till was my Georges Flyod, he was my Rashard Brooks, Sandra Bland and Briana Taylor. He was 14 when he was killed, and I was only 15 years old at the time. I will never, ever forget the moment that it became so clear that it could have easily have been me...
Tombée comme la foudre, la triste nouvelle nous est venue
sous une nuit tournentée d'insomnie. Dans ma tête,
je me suis dit, je ne sais où et quand, mais, il va se
passer quelque chose...
Je me suis reveillé à une heure inhabituelle, 4 heures
du matin, faisant le tour des médias. Après un jeu d'échec
perdu, j'ai feuilleté quelques pages d'un livre, prêt à
rendormir, quand l'idée m'est venue de consulter, le journal
Haitien, Le Nouvelliste...
Je n'en croyais pas mes yeux !
Quelle leçon ! La mort de Konpè Filo doit nous servir
d'apprentissage...défaut d'oxygène dans un service ambulance...
Pourquoi, laisse t-on un service ambulance fonctionner
sans tube d'oxygène pour les usagers ?
Men, nou anraje, mesye !
L'enfer que vous immaginez pour certaines personnes est
devenu un enfer pour tous...LIBEREZ LE PAYS !!! CESSONS
les luttes inutiles...pour CONSTRUIRE...
Quelques réactions de la diaspora haïtienne à travers le monde. Notre courriel veritas_tum@yahoo.com
Canada, BC
Nous n’avons pas deux mots à lui dire pour l’accompagner à la descente du train de la vie, simplement: ADIEU. En effet, il avait tout donné pour nous éviter la descente aux enfers, en aiguisant notre instinct de patriotes révoltés.
Malheureusement, ces aiguillons n’avaient rien provoqués de substantiel dans la psyché collective. Donc, il est parti déçu et la mort dans l’âme avec son éternel rictus au bord des lèvres. Il est parti déçu d’avoir fait de la prison pour rien, déçu d’avoir connu l’exil. La saison n’a pas réalisé la promesse des fleurs.
Alors, laisse partir Kompè Filo. Nous sommes condamnés à vivre dans notre déchéance éternelle, puisque, c’est un choix de société.
Adieu Kompé Filo!
MaxD
New York, USA
Konpè Filo was jailed twice under Baby Doc: 1980; 1983.
José
