samedi 28 août 2010

l'Heure du vrai Changement est Venue.


Lors du désastre Katrina en Amérique du Nord, M. Honoré, le général en charge du déploiement des troupes de l'armée américaine, disait "don't get stuck on stupid!" Ce qui se traduit ainsi "Ne demeurons plus dans le stupide!"

Si nous regardons mieux les anciens, dans toutes leurs idées, dans leurs coutumes et leurs habitudes, nous dirons qu'Haiti n'a fait que demeurer dans le stupide. Je le dis franchement, le pays a besoin des idées nouvelles, et c'est cette faculté que manquent les septuagénaires.

La présidence n'est pas un endroit de retraite, messieurs!

Jeunesse Haitienne, songez au vrai progrès! Rendez-vous aux urnes et votez ces messieurs hors d'état de nuire au développement réel de votre nation. Votez en masse, vous avez le pouvoir de changer la nation dans les prochaines élections.

vendredi 27 août 2010

Un Dilemme du SIDA.


Apparemment, cette femme est très-jolie, puis elle est gentille. Elle te fait les yeux doux. Mais, elle possède un secret qu'elle ne révèle pas. Derrière ses yeux tendres, se cachent les tentacules d'une tueuse d'hommes. Le SIDA tue toujours, et, nombreux sont ses victimes. Cette histoire nous vient de l'Allemagne ou une chanteuse infectée du virus fut trouvée coupable pour n'avoir pas averti son partenaire sexuel sur son état de santé. Messieurs, faites attention à ces personnes qui disent qu'elles vous aiment jusqu'à la mort!

mercredi 25 août 2010

Le Malheur Frappe sans Pré-avis



La misère comme la guerre poursuit les pauvres jusqu'à la tombe. C'est une réflexion profonde et vraie. Molière eut à dire que "la vie n'est que comédie et tragédie", dans cette circonstance, c'est plutôt la dernière. En regardant cette scène, je me souvenais de ce qui s'était passé au Gonaives en 2004.

Il y a presque neuf-ans, des associations de malfaiteurs, des trafiquants de drogues, des oppresseurs de femmes, faisaient tout ce qu'ils veulent dans cette place. Comme s'ils n'en ont pas assez souffert, aujourd'hui, c'est la nature elle-même qui frappe. Prions pour ce peuple du Pakistan, autrefois égaré, pour qu'il retrouve la paix et la prospérité.

De la Dette de l'Indépendance (Suite)

Boyer avait fait beaucoup plus qu'hypothéquer et taxer tous les citoyens, 300 piastres pour les grands fonctionnaires jusqu'à 3 piastres pour le plus simple travailleur, en acceptant l'ordonnance de Charles X, il avait aussi participé à l'écrasement de l'économie du pays du temps de 1825.

C'était un transfer de richesse qui s'était opéré, en plus, il y a eu une sorte d'astuce de pirates. Comment acceptez-vous que des gens qui, eux-mêmes ont les caisses vides, à cause de la crise économique mondiale de 1825, vont vous faire des prêts pour payer une somme aussi colossale?

Pour ceux-là qui se demandaient, ou sont passées l'immense fortune d'Henry Christophe, voilà la réponse. Tout le contenu du trésor a été déversé pour pouvoir payer une portion de la dette. (Tout l'or qui s'y trouvait et qu'on avait transféré de la Citadelle après la mort de Christophe, tout cela, volait en fumée.)

Boyer a du recourir au papier-monnaie pour pouvoir payer les employés de l'Etat. C'était le début de la misère et les déboires du fisc en Haiti.

lundi 23 août 2010

Au revoir, Clef?



Arrête, Nouvelliste! C'est un peu trop tôt. C'est une réaction un peu pessimiste de la part du journal haitien. Alors, quoi de neuf? Le rejet du CEP est naturellement accepté par tous. J'ai confiance que Wyclef possède des gens assez compétent dans son camp. Ce n'est pas sans raison qu'il a visité la présidence, messieurs!

L'article ne dit rien qui pourra aider le lecteur à voir clair dans le jeu. Pourtant, la visite à la présidence du chanteur RAP n'était pas pour rien, puisque le président est uniquement placé pour résoudre la question. Ne soyons pas dans l'étonnement, si, au cours des semaines à venir, qu'un arrêté présidentiel ne soit donné en faveur de Wyclef. C'est l'unique façon de résoudre l'affaire de sa candidature. S'il est le candidat sérieux qu'il réclame, ses démarches doivent demeurer près du président Préval pour la résolution de l'affaire de sa candidature.

Nous sommes trop éclairés pour ne pas comprendre tout ce qui se passe. Encore une virgule, Nouvelliste, tout cela n'a rien à voir au fait que Wyclef ne parle pas français.

mercredi 18 août 2010

De la Dette de l'Indépendance


Un objet de curiosité pour tous, car très peu de gens se penchent
sur la question de la dette; surtout ces derniers temps. Ce qui
me parait plus important, toutefois, ce n'est pas l'énormité de
la somme, mais les clauses ou conditions acceptés par le chef de
l'Etat, JP Boyer. Haiti, ne possédant pas les moyens nécessaires,
devait donc hypothéquer, puis taxer tous ses citoyens pour pouvoir
répondre au premier versement de cette dette (30,000,000fr).

D'après les conditions négociées par le trio Daumec, Rouanez et Frémont,
la France se reservait d'être aussi le pays prêteur de 80 pourcent
de cette somme avec un intérêt annuel de 6 pourcent. Cela se traduit
comme ça, sur 800 francs d'emprunt, les capitalistes français recevront
1,000fr. L'autre 20 pourcent serait donc financé par les hommes
d'affaires de la Grande-Bretagne.

Point besoin de vous dire, tous ces termes et conditions seraient
proposés à des hommes qui, 22 années plus tôt, gémissaient dans
l'esclavage. Ces hommes qui possédaient très-peu de lumières sur
la haute finance. SVP nous ne parlons ici que du financement des 3
0,000,000 de francs qui constituaient le premier des 5 versements.
J'imagine déjà les intérêts annuels de 6 pourcent. Mon Dieu!

A l'époque, 1825, les soi-disant prêteurs traversaient eux-mêmes
une crise économique très-aigu, le marché de Londres venait à peine
de s'éffondrer! C'était la France qui courait aux secours de la
Grande-Bretagne avec toute cette réserve d'or qu'elle possédait.

Tiens...tiens...je ne me souviens pas que la France exploitait
des mines d'or?

dimanche 15 août 2010

Un Travail Inachevé


Depuis le dépot de canditature de Wyclef, nous observons que personne
sur le terrain n'ose dire que la République ne reconnait pas la double
nationalité. Pourtant, c'est une affaire tellement sérieuse je pense
qu'on ne doit demeurer muet. Aussi, c'est une histoire irrésolue dans
la Chambre des députés et du Sénat, n'est-ce pas?

Les travaux sont inachevés, des projets de loi sont restés sans vote et
sans objections, le pouvoir législatif souffre d'apoplexie.

Sont-ils toujours sous le choc du 12 janvier?

Eh bien, voyons ce que font le pouvoir judiciaire? Umm, Rien! Niet!
Il est aussi paralysé après les secousses du 12 janvier et il parait
que tout le monde attend les ordres d'en haut.

Alors que ce passe-t-il en haut? Eh bien, tout le monde continue les
bamboches, ennivrés de rhum, de whiskey et de cigarettes
légales ou illégales.

Il y a pourtant beaucoup de travail à faire? Il faudrait interrompre
ces bambocheurs, pour qu'ils reprennent ces travaux tellement importants
pour la République, car le temps nous fait défaut.

vendredi 13 août 2010

Nouvelles d'Atlanta, en Géorgie.


La distribution de 13,000 formulaires pour des appartements à bon marché allait bien tourner, quand 30,000 postulants s'en mêlent de la partie. Une véritable gaguerre de coqs, vociférations, coups de poings, coups de dents, etc., etc. Et cette fois, ce spectacle capturé sur le vif ne revient pas du tiers monde. Scène qui s'était répétée auparavant dans la ville du Détroit, au Michigan.

mercredi 11 août 2010

Des Personnes SDF à Las Vegas


Des nouvelles sombres qui viennent de la citée pécheresse, Las Vegas. Ils vivent dans un réseau de tunnels au-dessous de l'exubérance des cazinos et des hotels de Las Vegas. Ce sont des égouts gigantesques batis spécialement pour faire évacuer les déchets et l'eau de pluie. Dans le genre de noirceur que nous sommes habitués en Haiti, Dammer et Catherine occupent cette place depuis deux ans. Cette situation s'est aggravée à cause du manque d'emploi et des retombées de la récession aux Etats-Unis. Le rêve américain devenu cauchemar pour des milliers de gens sans domicile fixe. Ce tremblement de terre, un peu différent, est causé par l'avarisme du genre humain. Dans un pays aussi riche que les Etats-Unis, l'accroissement du nombre des sans abris demeure une situation incontrolable.

dimanche 8 août 2010

Un Employé d'une Brasserie Budweiser, au Connecticut, Perd la Tête.


Nouvelle choquante! Ecoutez! Les problèmes de la société américaine crèvent les yeux. Démocratie ou Tyrannie? A vous de décider.

D'après les sondages, le bilan des personnes tuées par balles s'accumule exponentiellement. Dès le début cette crise économique, on terrorise la population des travailleurs par des licenciemens sans pré-avis, nous observons aussi une augmentation de violences familiales, des hold-ups, kidnapping, etc. Les actes de violence deviennent un peu plus fréquent. Des personnes endettées se sont données la mort, puis tous les membres de leurs familles. Il y eut plusieurs situations de ce genre en Californie. Nous nous souvenons aussi du cas de l'haitien en Floride. Tous ces gens qui vivent dans une démocratie, mais qui font des choses qui n'ont aucun sens, qui ne suivent pas les méthodes prescrites par la jurisprudence. C'est extrêmement dégeulasse!

Curiosité Historique

L'un des objets de curiosité sur l'histoire de la République d'Haiti est l'ordonnance de Charles X. Après avoir lu le texte de l'ordonnance du Roi de France, daté du 17 avril 1825, on doit se demander, pourquoi, après vingt-deux ans d'indépendance d'Haiti, le Roi de France avait-il jugé bon d'ordonner?

Ordonner à qui?
-ses sujets d'Haiti

Que signifiait 1804 alors?
- Umm, rien.

Selon le texte, traitait-il d'égal à égal avec le Président Boyer? Que s'était-il passé? Pourquoi Boyer décida-t-il de négocier avec l'envoyé de Charles X et non avec les émissaires d'Henri Christophe?

Pourquoi ce changement d'avis de la République de se mettre sous pied de guerre contre Christophe (une guerre intestine qui dura environ une dizaine d'années); mais, d'éviter la guerre et de négocier avec l'émissaire de Charles X?

Voici le texte:
CHARLES, par la grace de Dieu, Roi de France et de Navarre, à topus présens et à venir, salut.

Vu les art. 14 et 73 de la Charte;

Voulant pourvoir à ce que réclament l'intérêt du commerce français, les malheurs des anciens colons de Saint-Domingue, et l'état précaire des habitans actuels de cette ile;

Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit:

Art. 1er. Les ports de la partie française de Saint-Domingue seront ouverts au commerce de toutes les nations.

Les droits perçus dans ces ports, soit sur les navires, soit sur les marchandises, tant à l'entrée qu'à la sortie, seront égaux et uniformes pour tous les pavillons, excepté le pavillon français, en faveur duquel ces droits seront réduits de moitié.

Art. 2. Les habitans actuels de la partie française de Saint-Domingue verseront à la caisse générale des dépots et consignations de France, en cinq termes égaux, d'année en année, le premier échéant au 31 décembre 1825, la somme de cent cinquante millions de francs, destinée à endommager les anciens colons qui réclameront une indemnité.

Art. 3. Nous concédons, à ces conditions, par la présente Ordonnance, aux habitans actuels de la partie française de Saint-Domingue, l'indépendance pleine et entière de leur gouvernement.

Et sera la présente Ordonnance scellée du grand sceau.

Donné à Paris, au chateau des Tuileries, le 17 avril de l'an de grace 1825, et de notre règne le premier.

Signé: CHARLES.

dimanche 1 août 2010

Révolution et Résistance



Message aux Haitiens de la diaspora qui investissaient dans les propriétés immobiliers et qui subissent maintenant les terribles secousses de la crise économique aux Etats-Unis. Demeurez chez vous! N'abandonnez point vos maisons!  Sollicitez de l'aide d'un avocat!

De l'Héroïsme ou du Théâtre?


Nous n'avons pas beaucoup de choses à ajouter, le représentant de la neuvième banlieue de NY , Mr. Anthony Weiner, au cours de son intervention, demande une fin de l'hypocrisie dans le vote des reps. Il rappelle les caméléons à l'ordre! J'aurais été extrêmement surpris si tout cela n'était qu'un coup de théâtre pour exciter les passions. En tout cas, c'est un bon travail!