(Au brouillon)
Des grèves à n'en plus finir donnent le coup grâce à une économie déjà moribonde. Dans tous les pays du monde, être en grève, c'est vouloir atteindre un but. Ce qui est mauvais, c'est qu'on veuille bloquer les activités du citoyen qui vit déjà dans une précarité affreuse.
A mon humble avis, la grève en Haïti est un acte apatride et criminel...parce que ces messieurs s'amusent à donner des mots d'ordre comme bon leur semble, des mesures qui vont en sens contraire à toute logique.
On manipule la population. On le tient en otage, couteau sous la gorge. Dans quel but ? le lendemain le peuple retombe dans la même situation qu'avant...exception faite aux coquins de chefs qui s'emparent toujours du butin et jouent au thermomètre, à leur gré, avec les masses. Les grèves en Haïti sont devenues un moyen de chantage...
On a beau essayé de prendre la république voisine à titre d'exemple. Combien de grèves dans une période de 30 ans se sont tenues dans l'Est d'Haïti ? Pas même 5.
Le coût. Si une grève coûte à l'économie haïtienne 5 millions de dollars par jour, deux jours de grèves équivalent à 10 millions de dollars de manque à gagner... (mande yon ekonomis an Ayiti, la di w yon shif egzak?)
Si 20 grèves se sont tenues par année, ce qui est généreux dans le cas d'Haïti, notre total augmentera vingt fois plus. (200 millions)
Vous imaginez le nombre d'écoles, d'hôpitaux, de routes qu'on aurait pu construire avec cet argent ?
La grève oui, mais pas des grèves sans but. Je conçois mal qu'un Haïtien serait dans l'incapacité de comprendre les conséquences d'une grève dans un pays pauvre...
Auteur: Veritas
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