Un an trois mois après le crime du 7 juillet 2021 à Pellerin 5, on assassine Eric Jean Baptiste, ancien candidat à la présidence.
Cette fois, la méthode appliquée s'appelle: un get-apens. Garde de corps et voiture, sont criblés de balles.
Il parait que l'ONU ne bougera pas sans que des crimes soient commis sur la population. Donc, il faut dramatiser, agresser, tuer. D'autant plus, les chambres d'hôtels sont vides.
Elles doivent attendre encore...
Voir, des cadavres trainer dans la rue. C'est le moyen plus efficace pour forcer la main de l'ONU et rehausser le drame.
Par la force des choses, en Haïti, ce n'est plus seulement une silhouette, mais encore et surtout, le visage découvert d'un régime sanguinaire qui se prononce.
De son côté, l'ONU, agit en chat échaudé et ne se laissera pas prendre plusieurs fois dans le même piège.
En Haïti, ce sont des loups-garous qui gardent nos bébés.
R.I.P
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