Le Blackout : Système de défense nationale

Chaque pays adopte, à sa manière, un système de défense nationale.
Un système fusé balistique par-ci, des drones par-là... Il parait que
pour certains pays, ne possédant pas de grands moyens, le blackout,
et l'insalubrité a été généralement adopté comme système de défense.

Un système où seul les plus durs et les plus coriaces des hommes de
la planète puissent s'habituer de vivre sans s'inquiéter d'être conquis
par les nouveaux maitres du monde, quels qu'ils soient.

Sérieusement. Quels sont les avantages et les inconvénients d'une
telle approche d'esprit, de cette prédilection vers un abime sans issue?

Avantages.
Sous le couvert de la nuit, tous ces hommes sont invisibles.
La nuit les chats sont gris. Mais ces chats, possèdent des armes qui
peuvent tuer sous le couvert de la nuit, s'enfuir et disparaitre dans la
nature, comme si de rien n'était.
Je ne prône pas l'obscurantisme ici, mais il doit y avoir un avantage
ou une logique quelconque associée à ce choix.
Les industriels fabriqueront des lampes à gaz, des bougies et des
allumettes pour tirer profit de la situation.

Inconvénients.
Analphabétisme, sous-développement, misère ou pauvreté, maladie,
exode des jeunes par manque de travail, la faim dans un pays agricole.
Parti-pris ou parrainage, émigration, aucun changement infrastructurel,
des trous et de la boue sur les routes. Le travail se fait à la main due à l’antiquité
des machines. L’aspect de rouilles des toits à travers ces pays. Groupuscules,
gangs et gangsters, criminalité, injustice, perduration de zones de non-droit.
En somme, dans ces pays, il n’y a pas de différence entre la vie humaine et celle
des animaux.

L'émigration est devenue un moyen sponsorisé indirectement et encouragé par l'Etat
pour tirer profit de ce capital humain sans s'inquiéter d'un choc en retour.

S’enfuir ? Mais, pour aller où ? Sous les griffes du loup. Laisser sa famille, pour faire
face au Jungle imposant de l’Amérique du Sud, et les préjugés des autres peuples.
Des Juifs Errants. J’avais vu cette pièce en Haïti, au Théâtre de Verdure. Théâtre mort
faute de verdure d'un autre genre. Elle était triste cette pièce. Elle n'était que
souffrance, peine et tristesse.