À vrai dire, je ne saurais pas écrire seulement sans pour autant lire quelques auteurs proéminents. Le premier, le plus grand aussi, Victor Hugo, publia Le Dernier Jour d'un Condamné. Un livre qui m'a profondément bouleversé. J'imagine une tête pensante qu'on trancha sur l'échaffaud, sous les yeux, le chant et les applaudissements barbares du public.
Ensuite, un autre, Albert Camus, dont les oeuvres correspondent avec notre quotidien, jalonné par le COVID-19. J'en ai fait une bouchée, de la Peste et l'Etranger...
Emile Zola dont le discours intitulé "J'accuse !" nous fait revivre le machiavélisme d'un chef, sans égards pour un jeune officier de l'armée...
C'est Aimé Césaire, enfin, qui a bien dit: "Cette Afrique Noire, la mère de notre culture et de notre civilisation antillaise, c’est d’elle que j’attends la régénération des Antilles, pas de l’Europe qui ne peut que parfaire notre aliénation"...
Voilà ce qui m'a déterminé de faire une Reprise Indigène.
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