Nous devons examiner la question de Référendum pour le bien public.
Référendum veut dire une formule toute faite. C'est comme coller un OUI pour se perpétuer au pouvoir. Nous avons vu le résultat. Au premier abord, la présidence à vie en Haïti, en 1964 de François Duvalier.
L'une des attributions de la présidence c'est de veiller au bon fonctionnement des institutions de la république, y compris d'organiser des élections.
Il arrive que le pays marche mieux sans les entraves que causaient l'appareil législatif. Mais, cela ne se traduit point qu'on doit proposer un référendum comme la cause sine qua non d'organiser les prochaines élections législatives et présidentielles en Haïti.
La ligne de démarcation.
Ce serait une faute grave et un danger de la part de l'actuel occupant du palais national d'agir de la sorte, et du même coup, précipiter la fermeture de la Chambre des Députés et du Sénat pour concentrer tous les pouvoirs entre ses mains.
Nous avons le devoir d'enrayer les mots Référendum et CONSENSUS de notre vocabulaire... nous veillons à ce que les prochains dirigeants Haïtiens soient élus par le peuple et non par ces histoires de Référendum, CONSENSUS, CONSEIL, COMMISSION... TOUT "se zafè moun patikulye kap regle pou mete pèp Ayisyen anba kòd".
Élections Oui Référendum Non
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