L'arbitraire suspension de la section des commentaires par le journal "Le Nouvelliste", malgré ses mérites, a toutefois prouvé une certaine attitude intolérante et antagoniste même pour ce qui concerne les divergences d'opinions entre haitiens. Cette réaction est déplorable. Bien que certains internautes se plaisent à s'entr’égorger et à y entrainer les autres dans la boue, il fallait pourtant, sans troubler ce grand service, résoudre le problème sans troubler son bon fonctionnement. Je dois vous dire que l'estime que j'ai eue pour votre journal, aujourd'hui, a diminué. Alors, c'est la presse qui nous met le museau? Ce qui est arrivé, démontre clairement qu'il est dans l'habitude de mes compatriotes de s'amuser à détruire, sans aucune vision de l'impacte du service à la clientèle. Regardez mieux, il y va de même pour nos dirigeants, qui, avant le séisme, écrasaient tout d'un trait, pour ne reconstruire dans deux ou quatre ans plus tard, les bâtiments, les places publiques, et les routes... En plus, vous n'arriverez jamais à anticiper et à barrer totalement les injures, les gros mots, et autres sur le site. C'est techniquement impossible.
Tant de gens de la diaspora haitienne ont eus l'opportunité d'opiner ouvertement sur le journal haitien "Le Nouvelliste". La participation des membres de la diaspora sur le forum a été turbulente, je l'admets, mais je proteste énergiquement contre ce bâillonnement imposé sur la section des commentaires depuis le mois de janvier dernier.
Tant de gens de la diaspora haitienne ont eus l'opportunité d'opiner ouvertement sur le journal haitien "Le Nouvelliste". La participation des membres de la diaspora sur le forum a été turbulente, je l'admets, mais je proteste énergiquement contre ce bâillonnement imposé sur la section des commentaires depuis le mois de janvier dernier.
Démanteler cet appareil de communication entre les haitiens d'outre-mer et ceux qui résident toujours en Haiti, sans pour autant proposer, parallèlement, un autre alternatif, tombe bien dans le cadre de cette mentalité de désorganisation. Cette fois, ce sont les têtes pensantes qui le font, ce n'est pas un régime dictatorial. Qu'aurions-nous fait? Si cet acte abusif provenait du gouvernement? On aurait surement parlé de la liberté d'expression, n'est-ce pas? N'est-ce pas le cas maintenant?
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