Sur cette plage oú les voitures se mirent en file indienne on admire le sable argenté, toile de fond d’une mer bleuâtre et paisible.
La thérapeutique continua quand le curieux visiteur se mit à questionner la scène qui se déroule devant ses yeux. La stupéfaction était à son comble quand il réalise ce lopin n’est pas accessible à tous. Il dut rebrousser chemin, faire demi tour.
Ah, la privatisation d’une plage! Intéressant...
En marée haute comme aux temps des ouragans il n’existe pas de remparts pour retenir les vagues en furie.
Ici à Crescent Beach, on compte sur l’expertise d’une sauveteuse de 20 ans de carrière. C’est ce que m’a dit la sympathique Maurie qui sauva la vie à plus d’une huitaine de personnes…la plupart du temps des vieux qui ne savent pas nager.La curiosité continua lorsque je réalise ce plaisir est exclusif. J'observe cet état de fait en marchant à pied sur une propriété située en amont... et là, j'ai fait une surprenante constatation. Des centaines de chambres sont vides en été.
Que ce passe t-il ? Le pouvoir d'achat a-t-il diminué aux Etats-Unis ?
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